HtmlToText
p усский english deutsch portugus 中国 shqip espaol italiano svenska polski comprendre la crise conomique mondiale contemporaine ce n'est pas la conscience des hommes qui dtermine leur existence, c'est au contraire leur existence sociale qui dtermine leur conscience. (karl marx) dans une socit fonde sur le pouvoir de l'argent, tandis que quelques poignes de riches ne savent tre que des parasites, il ne peut y avoir de "libert", relle et vritable. (lnine) la victoire de la dviation de droite dans notre parti donnerait libre cours aux forces du capitalisme, minerait les positions rvolutionnaires du proltariat et augmenterait les chances de restauration du capitalisme dans notre pays. (staline) l'imprialisme, et au premier chef l'imprialisme amricain, n'a chang ni de peau, ni de nature. il est agressif, et il demeurera tel, mme s'il ne lui reste qu'une seule dent dans la gueule. (enver hoxha) l'essentiel du marxisme vu travers quelques thmes et actualits lien important : organisation des communistes de france (ocf) n ouveau : irak, afghanistan, lybie, syrie, ymen, etc. vos guerres imperialistes ! nos morts civiles ! notre interview par radio sputnik sur les clbrations du 70 e anniversaire de la victoire (diffuse les 8 et 9 mai 2015) contre-culture : le ralisme socialiste dans la chanson sovitique ps, loi travail et 49-3 : quand la bourgeoisie enterre sa dmocratie et montre ce que vaut son dialogue social elections presidentielles et legislatives 2017 preuve que les vritables dmocrates et les vritables dictateurs ne sont pas ceux que l'on croit : les lections gnrales se font galement dans un certain nombre de pays capitalistes, dits dmocratiques. mais dans quelles conditions s'y font-elles ? au milieu des collisions de classes, de l'hostilit des classes, cependant que les capitalistes, les grands propritaires fonciers, les banquiers et autres requins du capitalisme exercent une pression sur les lecteurs. de telles lections, fussent-elles gnrales, gales, secrtes et directes, on ne saurait les dire parfaitement libres, parfaitement dmocratiques. chez nous, dans notre pays, les lections se font au contraire dans des circonstances absolument diffrentes. ici point de capitalistes, point de grands propritaires fonciers ; par consquent, point de pression exerce par les classes possdantes sur les non-possdantes. les lections se font chez nous dans une atmosphre de collaboration entre ouvriers, paysans, intellectuels, dans une atmosphre de confiance rciproque, je dirais mme d'amiti rciproque, parce que nous n'avons pas de capitalistes, ni de grands propritaires fonciers, ni d'exploitation, et il n'est personne proprement dire pour faire pression sur le peuple, pour fausser sa volont. voil pourquoi nos lections sont les seules au monde qui soient vritablement libres et vritablement dmocratiques. (vifs applaudissements.) de telles lections libres et vritablement dmocratiques n'ont pu natre que du triomphe de l'ordre socialiste ; que du socialisme qui, chez nous, n'est plus simplement en construction, mais est dj entr dans les habitudes, dans la vie quotidienne du peuple. il y a quelque dix ans, on pouvait encore discuter sur la question de savoir si l'on peut ou non difier chez nous le socialisme. maintenant cette question ne se discute plus. maintenant, c'est une question de faits, une question de la vie vivante, des us et coutumes qui pntrent toute la vie du peuple. nos fabriques et nos usines marchent sans les capitalistes. la direction du travail est assure par des hommes issus du peuple. c'est ce que l'on appelle chez nous le socialisme en action. nos champs sont cultivs par les travailleurs de la terre, sans les grands propritaires fonciers, sans les koulaks. la direction du travail est assure par des hommes issus du peuple. c'est ce que l'on appelle chez nous le socialisme dans la vie ; c'est ce que l'on appelle chez nous la vie libre, socialiste. et c'est sur cette base justement que sont nes les nouvelles lections, vritablement libres et vritablement dmocratiques, sans prcdent dans l'histoire de l'humanit. ds lors comment ne pas vous fliciter l'occasion de la fte du peuple, l'occasion des lections au soviet suprme de l'union sovitique ! (ovation enthousiaste de toute la salle.) je voudrais ensuite, camarades, vous donner un conseil, un conseil de candidat-dput ses lecteurs. si l'on prend les pays capitalistes, on y voit s'exercer entre dputs et lecteurs des relations originales, je dirais mme, assez singulires. tant que dure la campagne lectorale, les dputs flirtent avec les lecteurs, sont aux petits soins pour eux, leur jurent fidlit, leur prodiguent une foule de promesses. c'est croire que les dputs dpendent entirement des lecteurs. sitt les lections termines et les candidats devenus dputs, les relations changent du tout au tout. au lieu de la dpendance des dputs vis--vis des lecteurs, c'est leur entire indpendance. pendant quatre ou cinq ans, c'est--dire jusqu'aux nouvelles lections, le dput se sent absolument libre et indpendant du peuple, de ses lecteurs. il peut passer d'un camp l'autre, il peut dvier du droit chemin dans le mauvais ; il peut mme s'emptrer dans des machinations pas tout fait recommandables ; il peut faire toutes les culbutes qu'il veut : il est indpendant. ces relations, peut-on les regarder comme normales ? pas du tout, camarades. tenant compte de ce fait, notre constitution a promulgu une loi confrant aux lecteurs le droit de rappeler avant terme ceux de leurs dputs qui commencent biaiser, dvier de la bonne voie, oublier leur dpendance vis--vis du peuple, vis--vis des lecteurs. loi remarquable que celle-l, camarades. le dput doit savoir qu'il est le serviteur du peuple, son dlgu envoy au soviet suprme, et il doit s'en tenir la ligne qui lui a t trace dans son mandat par le peuple. si le dput a dvi de son chemin, ses mandants ont le droit de demander de nouvelles lections et de blackbouler le dput fourvoy. (rires, applaudissements.) loi remarquable que celle-l. mon conseil, conseil de candidat-dput ses lecteurs, est qu'ils n'oublient pas ce droit, le droit qu'ils ont de rappeler avant terme les dputs, de surveiller leurs dputs, de les contrler et, s'ils s'avisent de dvier de la bonne route, de les secouer de leurs paules, d'exiger de nouvelles lections. le gouvernement a le devoir de fixer de nouvelles lections. mon conseil est de ne pas oublier cette loi et de s'en servir l'occasion. (joseph staline, discours prononc devant les lecteurs de la circonscription staline de moscou le 11 dcembre 1937) ci-dessus : un nouveau match lectoral excitant propos par le merveilleux monde de la "dmocratie" bourgeoise ! parce que la dmocratie bourgeoise est toujours tronque et illusoire, parce qu'elle s'arrtera toujours la porte de l'entreprise, aucun candidat ne mrite votre voix. aucun d'entre eux ne remet en effet en cause le fondement du capitalisme : l'esclavage salari. ces "reprsentants" ne sont que ceux du capital, ou les tenants d'illusions petite-bourgeoises sur la "dmocratie reprsentative". cessons d'tre victimes de cette duperie ! donc, ne votez pas, ou si vous voulez vraiment voter, ... choisissez le seul vritable vote protestataire qui soit, et glissez dans l'urne un bulletin "joseph staline" ! pour aller plus loin... ainsi qu'un texte important expliquant la ncessit du boycott des lections : le fond ou la forme (ocf, mars 2017) w w w . m a r x i s m e . f r votre navigateur ne prend pas en charge les cadres insrs ou est actuellement configur pour ne pas les afficher. menu : la contribution sovitique la victoire contre le nazisme les mensonges sur l'urss de staline (1924-1953) tlchargements : mp3, vidos, livres fragments philosophiques marxisme-lninisme : idologie images imprialisme et anti-imprialisme aperu sur le marxisme marx engels lnine staline hoxha tribune de la jeunesse marxiste-lniniste prises de position sur l'actualit rcente contre la criminalisation du communisme usa : cia, bush, fascisme et anti-communisme a. einstein et m.